Les dépenses des grandes industries représentent 17 %  de la consommation électrique totale du territoire. Pour ces entreprises très énergivores, il apparaît essentiel de comparer les offres d’électricité afin de réduire leurs coûts.

État du marché pour les industriels

Avec une conjoncture favorable, la production manufacturière française a affiché en 2017 un taux de croissance positif de 2,9 %. L’activité des industries est soutenue par une hausse de la consommation, c’est une très bonne nouvelle. Les secteurs du BTP, de l’aérospatiale et de l’industrie automobile y ont largement contribué.

Conséquence directe moins réjouissante pour les finances des sites de production : fabriquer de plus gros volumes implique une augmentation des besoins en électricité. Alors que les branches du résidentiel et du tertiaire ont vu baisser leur consommation électrique en 2017, la branche industrielle affiche, quant à elle,  une hausse, symbole d’une reprise.

Désormais déréglementé, le marché de l’électricité compte une trentaine de fournisseurs aux profils divers qu’il est utile de comparer. Ainsi, s’ouvre aux industries la possibilité de réaliser des économies en mettant en concurrence leur actuel contrat électrique. Courtier en énergie, Opéra Énergie soutient cette opportunité et apporte une solution efficace aux acteurs industriels, leur proposant de comparer pour leurs sites de production les différentes offres en électricité. Opéra Énergie guide vers le choix du fournisseur le plus judicieux, en fonction de l’historique de consommation, de la configuration de la manufacture et de certains critères de production spécifiques. Une solution qui contribue pleinement à la pérennité de l’activité.

Pour les industries : de la dérèglementation du marché de l’électricité au besoin de comparaison des fournisseurs alternatifs

Amorcée en 1999, l’ouverture du marché de l’électricité s’est réalisée progressivement jusqu’en 2016, avant la prochaine étape, lors de la suppression des tarifs jaunes et verts destinés aux entreprises et industriels consommant plus de 36 kVA. La production, le transport, la commercialisation et la distribution de l’électricité sont depuis séparés en activités distinctes. Ainsi dérégulées, la production et la commercialisation de l’électricité sont ouvertes à la concurrence. Une entreprise industrielle peut comparer les offres de plusieurs fournisseurs et choisir celle qui lui est la plus adaptée, en matière de prix mais également de services associés. Les activités de transport – stockage et de distribution restent en monopole, respectivement assurées par RTE et Enedis.

Quelle évolution sur les types d’offres proposés ?

Deux types d’offres cohabitent depuis la libéralisation du marché de l’électricité :

  • Les tarifs réglementés (TR) proposés par les fournisseurs historiques (EDF en première ligne) et fixés par l’État. Ils concernent désormais exclusivement les contrats en tarif bleu destinés aux particuliers et petites entreprises.
  • Les offres libres, dites « au prix du marché » ou « offres de marché », proposées par les fournisseurs alternatifs avec des prix librement fixés.

Aujourd’hui, Les industriels ne sont plus concernés par les TRV (Tarifs réglementés de vente). Ils sont obligés de choisir une offre de marché.

Quelle classification pour les sites de consommation ?

Mise en place par Enedis, le gestionnaire distribuant l’électricité au client final, la segmentation de C1 à C5 permet désormais de distinguer clairement les profils de consommateurs.

  • C1 : Mêmes caractéristiques techniques qu’un site C2 hormis une particularité : contrats séparés entre l’achat d’énergie d’une part et l’acheminement d’électricité d’autre part. Appelé contrat CARD ou CART (Contrat d’acheminement sur le réseau de distribution / transport).
  • C2 : Site raccordé en haute tension (> 1000 V), de puissance souscrite supérieure à 250 kW et appelé « à courbe de charge » ou « télérelevé » car Enedis en relève la courbe de charge au pas 10 minutes.
  • C3 : Site raccordé en haute tension (> 1000 V), de puissance souscrite inférieure à 250 kW, il est appelé site « à index » ou « profilé » car Enedis relève les index de consommation mensuels.
  • C4 : Site en basse tension et de puissance souscrite supérieure à 36 kVA.
  • C5 : Site au tarif bleu, en basse tension et de puissance souscrite inférieure ou égale à 36 kVA.

Selon les taille et niveau de consommation en lien avec leur secteur d’activité, les sites industriels sont répartis entre ces différentes catégories, le segment C1 étant dédié aux très grandes industries et le segment C5 ne concernant pas les industries.

La tendance haussière de la consommation électrique des entreprises industrielles : une incitation à comparer les offres

En 2017, la valeur ajoutée de l’industrie manufacturière a augmenté de 1,7 % (Source : Insee), une croissance plus vive qu’en 2016. Les activités industrielles les plus dynamiques ? La fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques et celle de matériels de transport. En revanche, la situation s’est détériorée pour l’industrie agroalimentaire, marquée par une faible production viticole et la pénurie de beurre.

Cette progression globale entraîne dans son sillage une hausse des consommations en électricité des secteurs industriels. La matière première électrique leur est indispensable, pour chauffer les locaux bien sûr, mais en premier lieu, pour faire fonctionner les équipements et tourner les moteurs des machines.

Les grandes industries ont totalisé 72,1 TWh (donnée RTE pour les sites directement raccordés à son réseau public de transport) sur les 423 TWh d’électricité consommées en France en 2017 tous secteurs confondus, soit une hausse de 2 % par rapport à 2016.

Les filières les plus électro-intensives sont la chimie et la sidérurgie

Elles représentent les deux-tiers de la consommation industrielle française, avec respectivement 28,4 % et 25 % du total de la branche industrie. Pour ces acteurs, les considérations énergétiques sont particulièrement structurantes. Les autres grandes industries consommatrices d’électricité sont : la métallurgie, le transport ferroviaire, le papier carton, l’automobile.

Le besoin en électricité de l’industrie varie selon les procédés et matières employés

Certaines entreprises utilisent de lourds équipements industriels très consommateurs d’énergie, d’autres en revanche sont moins énergivores. Les disparités de consommation proviennent des matériels et procédés de fabrication utilisés, des matières traitées ainsi que des produits finaux usinés. Pour limiter la consommation électrique, des efforts sont menés sur l’isolation des bâtiments industriels et lors du renouvellement des équipements de production : machines-outils (à découper, d’assemblage, de menuiserie), unités de traitement (de surface, de l’eau, thermiques), matériels d’élaboration de métaux, machines textile…

Certaines actions et traitements réalisés dans les usines et industries induisent un coût élevé en électricité. Citons notamment :

  1. l’injection d’air chaud dans les hauts fourneaux et fours (ex : sidérurgie-métallurgie) ;
  2. l’emploi de l’électrolyse (ex : industrie chimique) ;
  3. le pompage (ex : industrie automobile) ;
  4. la production de froid (ex : industrie agro-alimentaire) ;
  5. la force motrice ;
  6. la ventilation ;
  7. l’éclairage.

Selon la CRE (Commission de régulation de l’énergie), les tarifs de l’électricité des grands sites industriels ont augmenté de 31 % sur les huit dernières années. Cumulée à celle de la consommation électrique des manufactures, cette hausse des tarifs de l’électricité participe à l’élévation globale des factures. Elles s’alourdissent, elles pénalisent le bénéfice et sont un handicap pour la compétitivité.

Un constat s’impose : face au poids des dépenses en électricité pour les industriels, l’inertie serait une double peine. De nombreux sites pensent à remettre en question leur stratégie d’achat d’énergie, pressentant à juste titre qu’ils ont fort à y gagner. En comparant les alternatives possibles, en étudiant leurs contrats de plus près, ils ouvrent les yeux sur un potentiel d’économies à réaliser.

La facture d’électricité des entreprises industrielles, complexe mais optimisable

Les multiples paramètres de la facture électrique des industries manufacturières poussent à déléguer la mise en concurrence des fournisseurs à des spécialistes qui comparent les options envisageables.

Une facturation pas toujours très bien comprise

Par manque de temps à y consacrer ou d’expérience sur le sujet, il n’est pas rare qu’un industriel n’ait pas une vision très précise de la consommation électrique de son site de production. Il n’envisage pas de remettre en question et de comparer son contrat parce qu’il manque d’informations concrètes ou craint de ne pas savoir s’y prendre. Avancer sans accompagnement et faire un choix dans l’éventail des possibilités se révèle complexe et mobilise un temps précieux, sans que les décideurs aient toujours la satisfaction d’avoir signé le meilleur contrat alternatif… Faire appel à un courtier en énergie et déléguer la comparaison des offres permet d’éviter ce risque.

Des contrats pas étudiés ni remis en question depuis longtemps

Certaines actions ou inactions répétées dans le temps sont des arguments jouant en faveur d’une comparaison des offres des fournisseurs en électricité :

  1. Les caractéristiques des contrats ont été reprises automatiquement de l’activité précédente du site industriel, sans être adaptées aux nouvelles machines, au nouveau rythme de production ;
  2. Les tarifs d’électricité n’ont pas été renégociés depuis de nombreuses années alors que les critères de consommation ont évolué ;
  3. Les taxes sur l’énergie qui représentent une part importante des factures, n’ont pas été étudiées de près.

C’est lors de la comparaison des opérateurs du marché que les différents niveaux et structures de prix sont évoqués. Une grande part de la négociation repose sur ces éléments. Il existe donc une marge de manœuvre pour les industriels lorsqu’ils concluent un nouveau contrat avec un fournisseur.

Quelques notions améliorant la compréhension de la facturation et ouvrant le champ des possibles :

Les 2 principales familles de prix rencontrées pour un site industriel

Un industriel peut choisir un :

  • Prix indexé sur le tarif réglementé de vente. Il évolue en fonction d’une valeur de référence indiquée dans le contrat. L’indexation a le mérite d’être simple et publique.
  • Prix séparé énergie et acheminement. Ce dernier est facturé à l’euro l’euro par le fournisseur tandis que le prix de l’électron peut apparaître sous différentes formes : fixe, indexé, avec ou sans abonnement, etc.

Le prix global facturé

Il serait clairement biaisé de ne considérer que le coût d’achat de la matière première électrique lorsqu’on étudie des offres de marché pour une entreprise industrielle. Trois composantes doivent apparaitre clairement :

  • La fourniture de l’électron: elle comprend une part fixe – l’abonnement – liée à la puissance souscrite et la tarification, ainsi qu’une part variable selon la quantité consommée. Le tarif exprimé en euros / MWh (1MWh = 1000 kWh) fluctue d’un fournisseur d’électricité à l’autre, il dépend de son approvisionnement.
  • L’acheminement ou distribution de l’électricité: facturé par Enedis, il comporte une part fixe en euros et une part variable fonction des MWh consommés. Nommé TURPE (Tarif d’utilisation du réseau public d’électricité), ce tarif est public mais peut être optimisé.
  • Les taxes: leur calcul est déterminé par les pouvoirs publics mais leur montant peut également être optimisé par les industriels. C’est notamment le cas de la CSPE (Contribution au Service Public de l’Électricité) qui sert à financer le développement des énergies renouvelables, les mécanismes d’aide aux ménages les plus modestes, et le maintien d’un coût modéré de l’électricité dans les îles françaises. Le bénéfice de l’exonération ou de taux réduit conduit à des gains très importants, entre 15 et 25% de la facture d’électricité.

Trois éléments impactant le tarif d’achat de l’électron

  1. Le prix de « gros » : L’électricité est cotée sur des marchés de gros ou « bourses ». Les fournisseurs utilisent ces cotations pour construire leurs prix de vente finaux. Les factures des industriels subissent donc des variations sensibles en fonction des cours boursiers. Lors de la négociation d’un contrat, la tendance du moment, haussière ou baissière, aura un impact sur les choix réalisés. Opéra Énergie en tient compte notamment pour définir la durée idéale du contrat lors de la comparaison.
  2. Une option : le mécanisme de l’ARENH : L’Accès réglementé à l’électricité nucléaire historique (ARENH) est le mécanisme réglementaire mis en place en 2011 et obligeant EDF à vendre à ses concurrents de l’électricité à un prix reflétant son cours historique de production. En cas d’envolée des prix de gros de l’électricité, ce mécanisme d’achat peut s’avérer compétitif et permettre aux industries qui s’y intéressent d’optimiser leur facture électrique. Une étude économique approfondie menée par des spécialistes de l’énergie chez Opéra Énergie pour les industries aidera à juger de la pertinence d’un tel choix.
  3. Les structures de prix : Lorsqu’une industrie opte pour une structure de prix séparés entre le prix de l’énergie et le TURPE à l’euro euro, les fournisseurs peuvent proposer pour le prix de l’énergie :
  • Un prix unique ou un prix « horosaisonnalisé »: ce dernier varie selon les saisons, les jours et/ou heures de la journée. Il peut être pertinent pour des sites industriels qui connaissent une saisonnalité de production.
  • Prix fixe ou prix indexé : le prix fixe est figé pendant une durée définie au contrat (1,2 ou 3 ans), il apporte visibilité et simplicité ; le prix indexé peut avoir des avantages, surtout pour un acteur industriel. Exemple : prix « spot » day-ahead.
  • Prix « clic » ou « top » : un prix fixe défini à un moment choisi et non à la signature du contrat. Exemple : un seul prix fixé à une date prédéfinie ou fixation du prix en plusieurs fois selon l’évolution du marché.

Ce n’est là qu’un aperçu des options possibles à étudier lors de la comparaison des offres des fournisseurs alternatifs. Ainsi, il existe de nombreuses structures de prix innovantes et personnalisées en fonction des contraintes de l’industrie étudiée et de sa façon de consommer l’électricité. Ceci explique pourquoi le choix d’un nouveau prestataire en électricité peut sembler ardu s’il est mené en autonomie, sans être guidé et conseillé par des spécialistes du sujet.

Pour aider les directeurs, les responsables des achats, à faire un choix éclairé et à la mesure de l’enjeu pour la compétitivité de leurs usines ou sites industriels, Opéra Énergie a mis en place un outil comparatif d’aide à la décision. Opéra Énergie réalise à leur place la mise en concurrence des fournisseurs les plus à même de proposer une offre adaptée à leur contexte et permettant d’abaisser les charges en électricité, les montants facturés.

Optimisation des taxes sur l’énergie

De l’optimisation du TURPE et de la CSPE à la solution comparative Opéra Énergie, il n’y a qu’un pas, que les industriels ont tout intérêt à franchir pour diminuer leurs charges…

Le marché de l’électricité avec ses multiples acteurs et règles de fonctionnement évolutives n’est pas facile à appréhender.Un accompagnement pour mettre en concurrence des intervenants du marché de l’électricité est un vrai plus ! La signature d’un partenariat avec Opéra Énergie procure une aide concrète et mesurable pour :

  • analyser les usages électriques ;
  • identifier des pistes d’amélioration selon les systèmes de production ;
  • diminuer le poste des charges électriques
  • mettre en place des optimisation ou exonérations de certaines taxes liées à l’électricité, la CSPE notamment.

Les conseillers Opéra Énergie sont formés aux spécificités du marché, à ses évolutions réglementaires et se montrent vigilants pour prendre en considération tous les aspects importants à la négociation d’un nouveau contrat. Ils mènent la consultation, ils comparent les offres selon une méthode rigoureuse et objective, étudient les optimisations de taxes possibles, ils sélectionnent des contrats raisonnés et guident les décisionnaires vers la sélection la mieux adaptée à leur industrie.

Les différentes étapes de l’intervention Opéra Énergie

  1. Définir les besoins techniques et financiers de l’entreprise industrielle.
  2. Effectuer une consultation auprès des fournisseurs d’électricité les plus pertinents.
  3. Assurer une analyse et comparaison transparente des offres obtenues.
  4. Négocier les meilleures conditions possibles.
  5. Simplifier la prise de décision et permettre la signature de contrats optimisés.
  6. Prendre en charge des démarches administratives liées au changement de fournisseur.

Le savoir-faire des conseillers Opéra Énergie et leur vision à 360° du marché de l’électricité permettent notamment :

  • d’optimiser le TURPE (Tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité). Pendant que les usines avalent les MWh, il est intéressant d’étudier le coût d’acheminement de l’électricité et de choisir la bonne option entre longue et courte utilisation. La puissance souscrite (PS) doit également être déterminée avec précision en fonction du profil de consommation, car elle fixe l’abonnement du TURPE.
  • de réduire la CSPE qui représente en moyenne 25% de la facture d’électricité (hors TVA). Quel que soit le fournisseur, la CSPE (Contribution au Service Public de l’Électricité) est comprise dans la facture et porte sur l’ensemble de la consommation d’électricité. Son taux est de 22,5€/MWh. Elle est également appelée TICFE (Taxe Intérieure sur la Consommation Finale d’Électricité). Un consommateur industriel peut bénéficier dans certains cas d’un taux réduit, voire d’une exonération en fonction de la nature de l’activité industrielle concernée et du rapport entre la consommation d’électricité et la valeur ajoutée de l’entreprise.
  • de valoriser la capacité à faire baisser ou monter la consommation du site, grâce à un groupe électrogène ou un procédé industriel flexible (chimie, four, etc.).

Comparer les offres avec Opéra Énergie, c’est faire rimer technicité et efficacité

Chaque jour, Opéra Énergie conclut de nouveaux partenariats avec des professionnels, des entreprises, des industriels, des groupements aux profils variés et aux besoins hétérogènes (taille, secteur, équipement…). À chacun, elle propose un service dans la durée qui repose sur :

  • un outil de comparaison clair et technologiquement novateur ;
  • des tarifs négociés pour rationaliser les achats ;
  • des conseils gratuits aidant à la décision après comparaison ;
  • la parfaite connaissance des fournisseurs, tant sur le plan tarifaire que sur la qualité du service de gestion clients ;
  • la prise en charge des démarches administratives assurant un gain de temps ;
  • l’absence de frais cachés sur les tarifs comparés ;
  • le déploiement d’un nouveau contrat électrique sans rupture de fourniture (iso-qualité), sans pénaliser l’activité des sites.

Faire appel aux services d’Opéra Énergie est un acte de bonne gestion pour les industriels […]. Opéra Énergie croit profondément dans les bénéfices à tirer de l’ouverture de ces marchés […]. Notre service est gratuit, c’est le fournisseur en énergie que vous choisissez qui nous rémunérera […]. Il est sans engagement parce que lorsque nous établissons un comparatif, vous pouvez aussi ne pas choisir ».

Nicolas de Crémiers, Directeur du développement d’Opéra Énergie

Les conseils personnalisés, l’aide à la prise de décisions et la proximité avec un conseiller expert ont déjà convaincu nombre de structures de bâtir un partenariat avec Opéra Énergie, parmi elles, des industries du secteur textile, des métaux, de la carrosserie, du bâtiment, … Pour profiter de conditions tarifaires revues à la baisse, pour des contrats d’électricité plus adaptés à votre entreprise industrielle, pour une mise en concurrence des fournisseurs réussie, ayez le bon réflexe, adressez-vous à des spécialistes.

Directeur d’un pôle industriel, responsable des achats d’une usine, contactez Opéra Énergie pour optimiser votre stratégie d’achat d’électricité en comparant les options de contrats et de prix.

(Sauf exception signalée en cours d’article, les chiffres cités sont issus de l’étude XERFI « Marché et filière de l’électricité en France » – Avril 2018.)

Charlotte Martin
Responsable Communication

Sophie-Charlotte MARTIN, Conceptrice-Rédactrice spécialisée

Titulaire d'un master 2 en Lettres Classiques, complété d'un master 2 en Communication et d'un cycle web marketing à la CCI de Lyon, Sophie-Charlotte est intervenue sur des sujets aussi B2C que B2B, on et off line.

Régulièrement confrontée aux problématiques tertiaires et industrielles, elle s'est spécialisée en énergie. Aujourd'hui, elle garantit au quotidien la direction et la production éditoriale de l'entreprise. Sophie-Charlotte MARTIN est Responsable éditoriale d'Opéra Energie.